Parti Écologique Côte-d’Ivoire – Le président partage les critiques de Doumbia Major sur le 3e pont

Lu pour vous

Suite à la récente sortie du Docteur Doumbia Major [Côte-d’ivoire: Le manque d’intelligence magnifié au sommet d’un pays !] sur le manque de projection dans le futur des ingénieurs concepteurs du 3e pont d’Abidjan, les critiques ne se sont pas fait prier pour apporter la réplique au membre de la 3e voie, prônée par le professeur Mamadou Koulibaly et le Docteur Joseph Martial Ahipeaud. Le président du Parti Ecologique Ivoirien Edouard N’Gouan, dans une série de commentaire-réponses sur la question, a bien voulu à son tour éclairer l’opinion. Nous vous proposons ici quelques morceaux choisis de l’intervention de monsieur Edouard N’Gouan du Parti Ecologique Ivoirien qui, dans le fond rejoint les critiques du Dr. Doumbia.

(…)

« Personne ne doute ou ne critique le bien que fera ce pont ni de son utilité, encore moins de son existence. C’est bien d’être contre-critique. Mais c’est encore mieux de comprendre la critique. C’est bien que le pont soit construit. J’en suis fier. Il en faut d’autres. Mais, le développement durable transcende plusieurs générations comme le père Houphouët a su le faire. Il ne faut pas construire pour maintenant et casser demain parce-que ce ne serait pas conforme au besoin du temps. »

« La baie de Cocody aurait pu être transformée en port de plaisance. C’est très rentable et créateur de plusieurs emplois. Pensons cela en prévision, sinon c’est du gâchis. Pour le rond point de l’Indénié, tous disaient que c’était bien, il le fallait ! Voilà que la réalité dit qu’il est construit sans prévision, inondé, aujourd’hui, décrié par tous ! »

« Les gros bateaux peuvent passer par le fleuve Comoé pour accoster au port d’Abidjan. Il suffit que nous creusions le fleuve pour le rendre navigable, en prévoyant des écluses. C’est facilement faisable, tous les fleuves et cours d’eau l’ont été en occident pour faciliter le transport des marchandises. Nous avons toutes les capacités pour ! »

« Au moment où nous disons de relier la lagune en perçant tous ses bras pour en faire des croisières de ville, voilà que des ponts réduisent les mouvements ou forment des obstacles. Et des i…viennent parler sans comprendre ni penser à demain. La préoccupation de l’Ivoirien, ce sont des emplois. C’est la lagune qui le permettrait aussi. »

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