Lu pour vous
Le samedi 6 septembre 2014, alors qu’il était attendu à Washington DC à 17H pour sa deuxième conférence-débat, KKB pique une crise de palu. Il sera admis aux urgences dans un hôpital à New York aux environs de 9H. Sur les lieux, après les formalités d’identification, les médecins s’aperçoivent qu’il vient de Côte-d’Ivoire, un pays situé en Afrique de l’Ouest, une partie du continent africain où la fièvre à virus Ebola est en constante progression.
A peine le personnel médical apprend de lui qu’il fait une fièvre, qu’une panique s’empare d’eux et le placent aussitôt en isolement dans une grande salle. Il est coupé du monde, les médecins chargés de l’examiner changent de vêtement, reviennent vers lui cette fois, vêtus d’un équipement spécial (gants, bottes, cache nez, combinaison double protection) pour lui faire un prélèvement de sang dont le résultat de l’analyse s’avèrera négatif.
Des excuses lui sont présentées par la suite par le corps médical qui lui administre des médicaments et décide de le garder pendant une semaine.
Mais, en vue de respecter ses engagements avec ses compatriotes qui l’attendaient, il réussira à convaincre l’hôpital pour un billet de sortie et prendra la route de Washington DC pour commencer sa réunion retardée de trois heures.
Aux dernières nouvelles, l’honorable KKB se porte très bien.
KCN
NABONEWS
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