La sélection nationale de football n’a plus d’entraîneur depuis quelques jours. Les Ivoiriens qui attendent impatiemment de connaître le successeur de Sabri Lamouchi ont le regard tourné vers les locaux, Zahui François ou Kamara Ibrahim [des Eléphanteaux]…etc.
La page Lamouchi est tournée. Les Ivoiriens en grande partie ont gardé un mauvais souvenir du passage du technicien français sur le banc des Eléphants. Désormais, on se pose la question de savoir qui pour remplacer Sabri Lamouchi ? Faut-il à nouveau un expatrié pour coacher les Pachydermes ou opter pour la touche locale ? Pour de nombreux observateurs, la Fédération ivoirienne de football doit désormais se tourner vers les techniciens ivoiriens. Les arguments avancés par les défenseurs de cette thèse tiennent la route. Pour ces derniers, la valse d’entraîneurs expatriés qui se sont succédé à la tête de l’encadrement technique des Eléphants n’a rien donné. La Côte d’Ivoire n’en a pas véritablement profité en termes de résultats positifs ou de trophées glanés. D’Henri Michel à Sabri Lamouchi en passant par Steven Goran Ericksson et autres, jamais ces expatriés n’ont réussi à offrir à la Côte d’Ivoire son deuxième trophée continental après celui de 1992. Avec ces entraîneurs, le graal continental s’est toujours refusé aux Eléphants. Le trophée de 1992 qui reste l’un des plus symboliques a été remporté avec le technicien ivoirien Yéo Martial sur le banc.
L’Expression
Par Moïse N’Guessan
[Facebook_Comments_Widget title= » » appId= »331162078124″ href= » » numPosts= »5″ width= »470″ color= »light » code= »html5″]
Les commentaires sont fermés.