Affaire « patrimoine des Bidjans » Salomon Ahouré porte plainte pour « menace de mort »

Les-Bidjans-

Le Leaer de la communauté des Bidjans en Europe, Salomon Ahouré, a récemment déposé une plainte pour menace de mort auprès de la justice française.

Après les publications des articles dans les medias comme La lettre du Continent, Le Jeudi du Luxembourg, Connectionivoirienne.net, Ivoire business, Afrik.com, Eburnienews, pour dénoncer la main mise des grands groupes multinationaux comme Bolloré, Bouygues, Addoha de l’empire marocain du Roi MOHAMMED VI, sur le patrimoine foncier de la tribu BIDJAN et l’ensemble de notre plan d’eau Lagunaire à ABIDJAN, ce sont désormais les menaces. Ils ont commencé par le cambriolage du domicile du Leader des BIDJANS pour voler les documents des titres de Propriété. Après il y a eu la tentative d’empoisonnement du même leader. Aujourd’hui, ils sont passés à la vitesse supérieure en déposant sous son paillasson 4 balles de fusils pour dire que prochainement toute la famille sera décimée pour leur laisser la voie libre, d’exploiter toutes les richesses à ABIDJAN (FIEF DES BIDJANS). Nous sommes les seuls et unique dépositaires de l’ensembles du patrimoine foncier et lagunaire sur la terre de nos glorieux Ancêtres Bidjans, un point un trait.

La POLICE NATIONALE FRANÇAISE est saisie et une enquête est diligentée
AGBASSI AHOUO KOUTOUAN
LEADER DES BIDJANS, LES AUTOCHTONES D’ABIDJAN EN COTE D’IVOIRE

La POLICE NATIONALE FRANÇAISE est saisie et une enquête est diligentée
AGBASSI AHOUO KOUTOUAN
LEADER DES BIDJANS, LES AUTOCHTONES D’ABIDJAN EN COTE D’IVOIRE

Rappel historique des Bidjans :
Les vrais dépositaires du patrimoine foncier et du plan d’eau lagunaire à Abidjan.

Remettez-vous dans l’état d’esprit où vivaient nos aïeux avant l’arrivée en 1842 de l’officier de marine Bouët Willaumez chez les Eotilés à Assinie.

La forêt était inextricable, les voyages difficiles et périlleux du fait des guerres larvées qu’entretenaient les tribus entre elles. Il y avait bien longtemps déjà que les clans et les tribus étaient réparties sur des espaces géographiques mitoyens.

Ainsi les Atchans à Abidjan et Bingerville, les Abidji à Sikensi, les Abourés à Grand-Bassam, les Eotilés à Assinie les Abourés à Grand-Bassam, les Eotilés à Asssinie, Alladjans à Jacquesville, Adjoukrou à Dabou, Abey à Agboville, Attiés à Adzope, les Avikams à Grand-Lalou, les Didas à Divo et Lakota, les Nyambouas à Zoukongben et Guessabo, les Godiés à Sassandra et Fresco, les Ahizis à Toukouzou, les Betés à Daloa et Gagwa, les Odiennekas à Odienné, les Sénégalais au Sénégal, les Voltaïques en Haute-Volta, les Togolais au Togo, les Dahoméens au Dahomey, les Mauritaniens en Mauritanie, les Maliens au Mali, les Guinéens en Guinée Conakry, les Gabonais au Gabon pour vous dire, les etc. … dans leurs pays ou régions d’origine.

Les voies de communications se limitaient à des pistes et sentiers, à des cours d’eau. Les échanges s’effectuaient entre les tribus et les clans qui avaient des affinités linguistiques, entre les clans et les alliés sur le modèle du « Toukpé ».

Bassam, comptoir côtier, fondé en 1843 par les lieutenants de vaisseau Alphonse Fleuriot de Langle et Kerhellet vit s’éteindre en 1890 l’explorateur et agent commercial Marcel Treich Laplène des suites de la fièvre jaune.

La voie ferrée mise en chantier en 1903 a atteint Bouaké en 1912 après un intermède sanglant en 1910 avec les Abbès d’ Agboville pour n’atteindre sa frontière septentrionale qu’en 1914.

Le territoire nommé Côte d’Ivoire fut officiellement érigé en colonie en 1893.

Le 1er janvier 1934 Abidjan fut désignée comme capitale. Les festivités de cette élection eurent lieu le 17 août de la même année sous la houlette du gouverneur Reste.

Mais avant, à partir de 1850, l’ouverture progressive des routes et la mise en place d’une logistique avant la lettre pour étendre l’hégémonie à l’arrière-pays, a permis à la France de déporter des populations de divers horizons du pays et de certains pays de son empire africain sur Bassam pour des tâches diverses pour les uns, pour astreindre les autres à l’esclavage des travaux forcés car au Sud les populations forestières ne se sont jamais soumises et témoignaient d’un tempérament bien structuré qui ralentissait l’élan des colonisateurs.

En 1903 le colonisateur projeta le port sur le plan d’eau lagunaire qui s’étire le long des rivages du pays Bidjan.

Un troisième ressac de la vague de la main d’oeuvre prit d’assaut l ‘Ile Boulay appelée à l’époque Bidjan-Bouh.

Nangui Abrogoua et les siens les apostrophèrent de façon véhémente et les assignèrent dans les terres marécageuses de Vridi sur l’axe routier Bassam/Canal de Vridi en projet pour servir d’ouvriers pour le percement du canal et à la construction de la voie de chemin de fer. De là provient l’origine du nom Petit-Bassam : Eaux saumâtres, marécages et moustiques ramenaient inexorablement au mauvais souvenir de l ‘hécatombe de Bassam, leur premier lieu de chute ; de là aussi la transformation de Bassam en Grand-Bassam.

Cependant, instruit de l’expérience malheureuse de Bassam le colonisateue mit un point d’honneur à l’assainissment de Vridi.

C’est ainsi que, quand les colons français sont arrivés sur ce vaste terrttoire qu’on appellera plus tard la Côte d’Ivoire, ils ont immigré à Assinie, une etnie du Sud appelée N’zima, ensuite ils se sont déplacés à Bassam chez les Appolos.

Plus tard, ces colons se sont déportés à Bingeville appelé Allobe dans la langue Atchan chez les Koués et ils ont atteri définitivement en 1934 chez la tribu Bidjan, les autochtones d ‘Abidjan. Sachez que les Bidjans et les Koués sont du même groupe appelé les Kobli mais sont des rivaux (frères ennemis) là, les colons ont créé ou érigé le pays des Bidjans comme capitale de la Côte d’Ivoire. De là ils ont fait venir les Malinkés du nord de la Côte d’Ivoire et les Sahéliens pour travailler en Côte d’Ivoire. Les colons ont installé leurs valets sur les terres des Bidjans à Abidjan sans débourser un franc au dépositaire foncier des autochtones Bidjan. Ils ont dépossédé les vrais propriétaires en distribuant leurs terres aux Ivoiriens du nord et les africains de l’empire français.

Au passage, les colonisateurs français se sont servis copieusement en faisant main basse sur l’ensemble du patrimoine des peuples du Sud, il faut comprendre que nous étions une colonie, et tout se passait au sud de la future nation appelée Côte d’Ivoire, chez les sudistes en général et les Bidjans en particulier.

En ce temps là, toutes les autres tribus de l’Ouest , du Centre, de l’Est et du Nord sont scotchées dans leurs régions respectives. Et quand les colonisateurs français ont décidé d’ériger Abidjan (village, ville, domaine, territoire, pays) de la trIbu Bidjan comme capitale. Nous, les membres de la tribu Bidjan composée des villages (Adjane, Agban, Attecoube, Locodro, Anoumambo, Santai, Cocody-village), nous n’avons pas donné de mandats ni prérogatifs à qui que ce soit pour détruire notre environnement (faunes et flores) pour construire les ville et le port autonome etc etc.

Les colons ont imposé leurs diktats sans nous consulter et nous n’avions pas d’avis à donner car nous étions des indigènes, un point, un trait. La tribu Bidjan a subi le bradage de la quasi totalité de ses biens au profit de l’empire Français et au profit de l’état de la Côte d’Ivoire après l’indépendance.

Les villageois de Locodjro ont été chassés de leur village pour construire la ville blanche appelée Commune du Plateau. Les champs et les zones de pêche de Locodjro ont été donnés à titre grâcieux aux valets venant du nord de la Côte d’Ivoire pour récompenser leur soumission à l’autorité de l’homme blanc. Ce sont Les Malinkés du Nord de la Côte d’Ivoire, les Senoufos de Korhogo, Boundiali, Ferkessedougou, Sinematiali, les Dujiminis de Dabakala, les Mahokas de Touba, les Koyakas de Séguela, les Koulangos de Boudoukou, Tanda et Bouna, les Abrons de Tanda et Bouna, etc etc.

Tout cela se passait quand nous étions encore une colonie (indigènes nous étions), tous nos territoires nous ont été arrachés et attribués aux nordistes Ivoiriens et partagé aux Saheliens de l’empire Français. Exemples : Bromankouté, Treichville, Koumani, Port Bouet sont devenus la propriété exclusive des Malinkés, Ivoiriens et des Saheliens ouest africains.

Houphouet Boigny, le Fossoyeur

Et enfin vient l’Indépendance, il nous fallait bien sûr un président, il y avait deux candidats : Nampe Djro Antonin du Parti Progressiste et Houphouet Boigny du PDCI-RDA. Nangui Abrogoua, chef suprême des Bidjans et grand planteur a coopté les chefs des vllages de sa tribu pour apporter leurs soutiens infaillibles au jeune syndicaliste agricole qui était Houphouet, le défenseur des paysans et agriculteurs indigènes contre le planteurs européens de la colonie. Entre le groupe Kobli composé des Bidjans et les Koués, il y avait la rivalité, c’est pour le chef suprême Nanan Abrogoua Nangui a fait un choix : Houphouet. Ce qui a fait de ce dernier l’un des premiers africains (indigène) à siéger au conseil municipal d’Abidjan. Cela a permis à Houphouet Boigny d’utiliser Abidjan comme une rampe de lancement pour sa carrière politique plus tard comme conseiller municipal, maire d’Abidjan, premier ministre et comme le prédident de la République. Tous ces détails ont été occultés volontairement par le parti PDCI d’Houphouet pour noyer de la gratitue de la tribu Bidjan vis-à-vis de cet étranger Baoulé au détriment de leur frère de sang de la tribu des Koués : Nanan Nanpé Djro, chef suprême des Koués de Bingerville (Allobe est le nom en Atchan).

Houphouet a exploité la rivalité entre les Bidjans et les Koués pour avoir le soutien des premiers pour éliminer politiquement son adversaire de l’époque Nanan Nampey Djro.

Trahison d’Houphouet à l’égard des Bidjans

Houphouet Boigny devenu président de la Côte d’Ivoire a tourné sa veste à 180° vis-à-vis des Bidjans. Pour protéger les intérêts des Français qui se méfiaient de notre tribu pour sa capacité à discerner du vrai et du faux et sa perspicacité. Les colons français ont conseillé à Houphouet d’éloigner le plus loin possible les Bidjans de tous les postes politiques, économiques et sociaux de l’appareil de la nouvelle Côte d’Ivoire s’il veut avoir la coudée ou la main libre. C’est pourquoi Houphouet n’a jamais nommé un homme ou une femme Bidjan en particulier et les Atchans en général dans les postes élevés de l’administration centrale de notre pays.

Tout Ivoirien peut être nommé ministre, ambassadeur, préfet, directeur de société d’Etat etc etc, sauf un autochtone Bidjan, le vrai dépositaire du Patrimoine Foncier et du Plan d’eau lagunaire appelé la lagune « Ebrie » à Abidjan.

Et c’est pour protéger les biens accaparés de force ou de gré à Abidjan que ce bandit d’Houphouet Boigny, pour plaire à l’empire français a proclamé ce maxime qui dit que « La forêt appartient à celui qui la met en valeur ».

Il faut dire que nous venions de sortir de la colonisation, donc nous étions une jeune république et nous n’avions pas de moyens pour mettre notre patrimoine en valeur. C’étaient les anciens colons français, les valets Ouest Africains et les Malinkés du Nord qui allaient donc faire ou exploiter gracieusemenet notre patrimoine à Abidjan et le reste du Sud. Exemples : les grandes plantations de bananes, de palmier à huile, de cocotiers, d’ananas, d’hévéa. L’exploitation sans vergogne de notre lagune par les pecheurs Ahourans et Gbossoro, des étrangers ouest-africains sans débourser un seul franc pour payer la redevance aux propriétaires Bidjans que nous sommes. Abisjan est un passoir pour toute le monde, sauf pour les Bidjans.

Pendant que Houphouet Boigny joue au père Noël, un chef généreux qui donne sans compter les biens des autochtones Ivoiriens de souches, en les bradant aux étrangers, ce cher chef Baoulé a pris les dispositions et soin de bien protéger les biens de son clan les Akoué de Yamoussoukro. Houphouet n’a jamais appliqué cette maxime qui dit que « La terre de la Côte d’Ivoire appartient à celui qui la met en valeur ». Ainsi, son groupe ethnique, les Baoulés, peuvent envahir les forêts à l’Ouest, au Sud-ouest , devenus de grands proriétaires terriens au Sud, surtout Abidjan. Jamais Houphouet n’a bradé les terrres de son clan aux autres Ivoiriens de souche chez lui au centre du pays.

Ivoiriens à part entière et Ivoiriens entièrement à part

Voyez-vous Houphouet gérait la Côte d‘Ivoire comme un pays qui n’appartenait à personne. Il n’y avait pas de carte de séjour pour les étrangers, on ne pouvait donc pas faire la différence entre les Ivoiriens à part entière et les Ivoiriens entièrement à part (fils d’immigrés ouest-africains et les Saheliens venant du Sénégal, Mali, Niger, Guinée Conakry, Burkina-Faso, Mauritanie et les autres qui sont : Dahomey, Togo, Gabon, Congo.

Prise de conscience d’Houphouet Boigny après l’injure des Atchans à son égard

Ce n’est que, quand les Atchans en général et les Bidjans lui ont rappelé que lui Houphouet n’est pas Atchans et ne le sera jamais. Que même si un morceau de bois resté longtemps dans l’eau ne deviendra jamais un Caïman. Il a répondu aux Tchamans que lui Houphouet ne peut pas faire du mal aux Ebriés car ce sont ses frères. La réplique a été que Abidjan n’est pas chez lui, même s’il est Akan, il est du centre et qu’il n’avait pas ou aucune légitimité au sud pour brader notre patrimoine.

C’est depuis cette fameuse audience accordée au peuple Atchan par Houphouet à la présidence qu’il a pris la résolution d’aller construire la terre de ses ancêtres à Yamoussoukro. Pour réaliser ce projet pharaonique de construction, Houphouet était contraint de déporter les Baoulés dans les forêts de l’ouest et dans le sud ouest pour occuper les espaces laissés vacants pour transformer son village natal en capitale politique de la Côte d’Ivoire.

Voilà pourquoi, aucun président n’a eu le courage d’accorder une audience aux Atchans et les Bidjans de peur de lui jeter à la vérité crue à la figure. De Bedié à Gbagbo, aucun président n’a accepté notre demande d’audience. N’importe qui peut avoir une audience dans cette pseudo-république bananière sauf les vrais dépositaires du Patrimoine Foncier d’Abidjan que sont les Bidjans, appelés improprement les « Ebriés » d’Abidjan.

Au sud, Houphouet a cédé aux familles françaises les biens appartenent aux autochtones spoliés et expropriés par les ex-colons. Pour avoir le soutien indéfectible de la France. Ce qui lui permet de mettre à l’abri son régime Despotisme Immoral et Amoral contre ses bienfaiteurs Bidjans.

A l’ouest, Houphouet a spolié aussi les etnies Beté, Dida, Gouro et autres pour donner leurs forêts aux Baoulés, son propre groupe ethnique et aux cultivateurs Burkinabé, Maliens et Sénégalais donnant une image à l’extérieur dans les pays Sahéliens comme un grand homme généreux. Dans la réalité les Ivoiriens sont privés de leurs patrimoines, étrangers sur les terres ancestrales pour la seule gloire ephémère du pseudo Naman Boigny.

Comme réponse aux critiques des autochtones et les vrais propriétaires terriens, on les jette à la tronche que Les Baoulés et les étrangers (Brukinabés et autres étrangers dans les forêts de l’ouest et sud ouest) sont des travailleurs alors que les groupes ethniques Krous sont des vauriens et des paresseux, ils préfèrent danser et chanter que de travailler à la terre.

Mais, depuis la nuit des temps, nous autres Ivoiriens n’avons pas entendu dire que les Baoulés, les Malinkés du nord de la côte d’Ivoire et les Sahéliens apportaient la nourriture pour nourrir les vauriens Krous.

L’après Houphouet, la France organise le désordre pour installer un étranger pour protéger ses intérêts

Il faut préparer l’après Houphouet et continuer à protéger ses intérêts. Pour cela la machine à manipuler a été mise en marche. Il faut absolument faire croire aux Saheliens immigrés qu’à l’origine ce territoire était vide, c’est-à-dire pas peuplé et que les quatre groupes qui composent le Côte d’Ivoire, les Akans, les Krous, les Voltaïques et les Mandes sont venus dl’horizons divers.

Les Akans qui occupent le sud, le centre et l’est de la Côte d’Ivoire seraient donc venus du Ghana. Au sud, les ethnies Akans sont : les Aboures, Abbey, Akyé, Adjoukrou, Atchan (Ebriés), Alladjans, Ahizis, Appolo, Abidji, Agni, Ingbatto, Avicams.

A l’ouest les Krous seraient venus du Libéria, les ethnies sont : les Bétés, les Didas, les Gouros, les Kroumen, les Néo, Godiés, Gagon, les Bakoués wê, Yacouba, Wôbés.

Au centre et l’est, les Baoulés et Agnis seraient venus aussi du Ghana.

Au nord, les groupes Malinkés et Mandés seraient eux venus du Burkina, du Mali et de la Guinée : les Senoufos, Djimini, Koulangos, Kôyaka, Lobi, Mahoca wê, Yacouba, Gueré et Wobês etc.

Du coup ces personnes là se croient plus Ivoiriens que les Autochtones Ivoiriens ((Ivoirien à part entière) puisqu’il existe des Ivoiriens entièrement à part : ce sont ceux qui ont pris les armes pour revendiquer les droits. Souvenez-vous des deux femmes qui réclamaient le même enfant, quand il fallait couper l’enfant en deux afin de partager, la vraie mère a préféré laisser l’enfant entier pour lui permettre de vivre plutôt que de le couper en deux. Puisqu’en le coupant il allait mourir. Mais cela ne dérangeait pas la fausse mère tout simplement parce que l’enfant n’était pas d’elle.

Les fils d’immigrés sahéliens nés en Côte d’Ivoire et les pays saheliens qui ont encouragé la rebellion savent pertinemment qu’un jour ils retourneront dans les pays de leurs ancêtres. Donc ils sont prêts à brûler, balafrer, défigurer, saccager les biens de leurs bienfaiteurs du moment que leurs maîtres blancs les encouragent dans cette voie sans issu et sans lendemain pour leurs descendances et progénitures jusqu’à la fin des temps.

Appartheid à l’Ivoirienne

Dans la logique des choses, ceux qui sont habilités à prendre les armes sont les Atchans (Ebriés) en particulier et les sudistes en général. Parce que tout se passe sur notre terre sans que nous puissions profiter de quoi que ce soit. Voilà pourquoi, aujourd’hui nous sommes regroupsés en une coalition akwaba regroupant les régions suivantes : région des Lagunes, des régions d’Agneby, du Sud-Comoé, Sud-Bandama et la région Bas-Sassandra. Pour cette coalition akwaba, il faut absolument se mettre ensemble contre les dégénérés poussiéreux de saheliens sans foi ni loi qui vivant chez nous et qui sont des esprits chagrins. Ce sont des persoones qui ne sont pas fières de leur personne et nous n’avons rien en commun.

Pour nous, dans notre devise, lorsque l’Immigré va chez quelqu’un, c’est que tu n’as rien à manger chez toi et pour cela tu respectes les gens qui te donnent l’asile et l’hospitalité. Si tu n’aimes pas leurs façons de faire ou leurs manières de fonctionner, tu n’as qu’à rentrer chez toi puisqu’à la base, tu n’as pas été invité. Mais tu ne viens pas chez autrui puis t’allier avec le diable, pour massacrer la descendance de ton bienfaiteur. On ne coupe pas le sein qui vous donne le lait ni la main qui vous donne à manger. A moins d’être dépourvu de bon sens et d’humanité, alors nous les regardons, nous voyons que nous sommes tous des Ivoiriens mais nous n’avions pas du tout la même conception de la vie humaine et nous n’avons rien à faire ensemble.

Donc, demain nous serons obligés de découper la Côte d’Ivoire. Elle a été mal découpée à la base, les Ivoiriens du Nord qui ont des affinités avec leurs cousins Saheliens des pays voisins iront avec eux. Ils ont les mêmes sensibilités et ils vont se découper les uns les autres. Car nous les vrais Ivoiriens, nous avons la coutume de régler nos différents par le dialogue, pratique ou tradition inconnue pour ces Saheliens vivant sur notre sol d’Eburnie. Et nous les autochtones, nous allons vivre avec ceux-là qui vont respecter nos lois et coutumes puiqu’ils vivent chez nous au Sud, le contraire ne sera pas possible.
Qui vivra verra.

Contribution d’un Bidjan à l’Histoire moderne de cette pseudo république de Côte d’Ivoire.

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