« Selon La Lettre du Continent, « la décision d’envoyer Charles Blé Goudé à la Cour pénale internationale (CPI) a été gérée dans le plus grand secret. Les responsables de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) ont été soigneusement tenus à l’écart de la procédure. « Pourquoi ? Parce que « lors du transfèrement de Laurent Gbagbo à La Haye, fin novembre 2011, l’Onuci avait, il est vrai, refusé de mettre un avion à la disposition des autorités ivoiriennes, ce qui avait fortement déplu. »
Le dossier a été géré, selon le périodique, par Ouattara, Hamed Bakayoko (Intérieur), Paul Koffi Koffi (Défense) et Gnénéma Coulibaly (Justice).
« Selon les informations de La Lettre du continent, le gouvernement belge s’occupera de la logistique liée au transfèrement de l’ex-leader des Jeunes patriotes en vertu d’un accord passé entre Bruxelles et la CPI. Cette opération nécessite toutefois que le Comité des sanctions de l’ONU lève, préalablement et officiellement, plusieurs mesures contraignantes prises à l’encontre de Charles Blé Goudé. L’une d’entre elles interdit à ce dernier d’être accepté à bord d’un avion. Le Comité onusien devait se réunir ce 21 mars ou, au plus tard, le lendemain, à New York, pour lever ces sanctions et ouvrir la voie au transfèrement effectif », écrit La Lettre du Continent. » –
K.K. Via Théophile Kouamouo
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