« Je m’inscris dans le processus de réconciliation. C’est pour cela que je suis rentré. Je le ferai au niveau de ma région, avec mon parti politique », a-t-il dit.
« Quand il y a la paix on peut parler de développement. Pour la réconciliation on ne doit pas parler de préalable », a-t-il déclaré, le lundi 20 janvier, à sa sortie d’audience avec le ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de la Sécurité, Hamed Bakayoko.
Marcel Gossio, cadre du Front populaire ivoirien (Fpi) a ainsi réaffirmé sa volonté de participer au processus de paix et de réconciliation en Côte d’Ivoire entamés depuis la fin de la crise postélectorale de 2010.
« Je m’inscris dans le processus de réconciliation. C’est pour cela que je suis rentré. Je le ferai au niveau de ma région, avec mon parti politique », a-t-il dit.
Le ministre Hamed Bakayoko a, quant à lui, rassuré les exilés qui rentrent en Côte d’Ivoire. « Ce n’est pas une stratégie politique ni un piège. C’est une exigence. Nous sommes convaincus que ce pays ne peut se développer véritablement que si nous sommes réconciliés », a-t-il insisté.
Invitant l’opposition à s’inscrire dans la dynamique de paix, il leur a demandé de voir le retour de leurs frères comme une participation du gouvernement à favoriser la paix et la réconciliation nationale
Diomandé Mémoué
Fraternité Matin avec photo
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