« Assassinat manqué du camarade Zoe Jean-Marc »
Le Camarade ZOE JEAN MARC membre du Bureau Exécutif National sortant de la Jeunesse de l’UDPCI de YAO KOUADIO SERAPHIN, a été victime d’un kidnapping ce lundi 11 novembre 2013 soir aux environs du Plateau Dokoui, par cinq individus en tenue militaire qui, après l’avoir rudoyé de plusieurs coups l’ont embarqué dans un véhicule où une cinquième personne attendait pour le conduire dans les recoins de Marcory, où il a passé des moments terribles, échappant de peu à une mort certaine.
Le Camarade ZOE JEAN MARC de surcroit assistant du Secrétaire Général par Intérim de l’UDPCI, Docteur ALBERT FLINDE, était connu pour ses prises de positions au sujet du 2eme Congrès Ordinaire des Jeunes où il luttait contre tout tripatouillage des textes de la Structure Spécialisée des Jeunes. «tu n’as pas dit que tu aimes parler, tu vas te taire à jamais» lui ont lancé ses ravisseurs. Avec cet acte de violence et de meurtre manqué, le 2eme Congrès des jeunes de l’UDPCI prend une autre tournure. Aucun crime n’est parfait et ces ravisseurs d’un soir ont laissé plusieurs indices qui sont entrain d’être exploités et qui vont faire des hommes nommément connus avec leurs commanditaires.
On se rappelle encore, qu’en son temps, un Président de la JUDPCI devenu entre temps FRCI à YOPOUGON avait usé des mêmes méthodes au lendemain de l’Assemblée Générale de YOP CENTRE I qui devait voir le Camarade ADIKO( ?) intégrer cette coordination comme vice président. Il a fallu en son temps, devant les actes et les menaces de ce dernier contre les responsables de la JUDPCI à YOPOUGON, que nous touchions la hiérarchie militaire pour que ces actes nauséabonds de ce Président JUDPCI devenu FRCI, s’arrêtent.
Dans le même temps à Abobo, des individus fortement identifiés comme étant des éléments de la garde d’une autorité, ont commencé à menacer tout ceux des militants qui pensaient comme ZOÉ. Or ces individus, eux aussi, ont flirté avec les treillis militaires lors de la crise postélectorale.
L’un dans l’autre, les indices de la voiture et le témoignage du Camarade ZOÉ malgré son état de santé, sont d’une importance capitale.
Les jours et les heures à venir nous situerons l’opinion, car ils viennent de franchir le Rubicon. Les heures et les jours qui nous séparent de ce 2eme congrès seront, à n’en pas douter, riches et intéressants.
La lutte est engagée
JEAN BLE GUIRAO DEBADEA
LE COMBATTANT DE LA LIBERTE
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