Libre Opinion
S’il y a des attitudes de certains d’entre nous qui m’exaspèrent au plus haut point, c’est bien notamment celle du frère Claudel Guigui de Paris. Le principe fondamental de la démocratie que Laurent Gbagbo a apporté à la Cote d’ivoire, consiste justement à respecter les dirigeants que nous avons librement choisis.
Or je constate avec regret que Claudel Guigui a choisi de se rependre dans la presse, critiquant vent debout, le président Affi Nguessan, lui réclamant je ne sais quel congrès, après lui avoir reproché des ambitions présidentielles. La vaillante sœur Brigitte Kuyo récemment nommée, ne trouve pas non plus grâce aux yeux de Claudel Guigui.
Or tous ceux qui, comme moi, suivent les pas du président PASCAL AFFI N’GUESSAN depuis sa sortie du bagne, pourraient attester qu’il n’a jamais fait de déclaration de quelque nature que ce soit que l’on pourrait lui reprocher. Qu’il reçoive des bénédictions des populations récemment visitées et qui lui prédisent un destin national est tout à fait compréhensible. Mais qu’y peut-il? Il ne va tout de même pas les bâillonner non!
Dans une période aussi sensible celle-ci, qui voit progressivement la renaissance du FPI, il faut savoir tempérer nos impatiences et faire confiance à ceux auxquels le président Laurent Gbagbo a confié notre destin commun.
Christian Casimir
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