Venus enquêter sur l’indice de sécurité en Côte d’Ivoire, les enquêteurs de l’Onu n’ont pas eu à chercher loin les preuves de l’insécurité qui a atteint un niveau alarmant sous Ouattara. Ils se sont euxmêmes fait braquer. Une «mauvaise publicité»que le régime d’Abidjan veut cacher.
Les deux émissaires de l’Onu dépouillés de leurs biens aux II-Plateaux, à Abidjan.
Malheur pour ces deux envoyés des Nations-unies, ils ont reçu, dans la nuit du mardi 20 au mercredi 21 août 2013, la visite de trois hommes puissamment armés qui ont sans difficultés, mis au respect, les agents commis pour assurer la sécurité de ses deux diplomates occidentaux. Les deux émissaires ont été dépouillés de tous leurs biens. Le matériel informatique, tous les objets de valeur et une forte somme d’argent dont ils disposaient ont été emportés. Jusqu’aujourd’hui, ces trois malfrats sont introuvables. Informé, le régime fait depuis, des mains et des pieds pour éviter que cette information soit divulguée par la la presse. Car il tient encore à préserver le peu de crédit, s’il lui en reste encore, vis-àvis de l’Onu. Et certains cadres de l’Onuci jouent le jeu du régime pour étouffer cette affaire.
Le Temps
Yacouba Gbané
yacou06336510@yahoo.fr
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