Ils habitent Sawadogokro, Sokourani, Mandekro, Ouaga 2, Diallokro, Petit Bobo etc. des villages illégaux créées par des clandestins dans le Mt. Péko, aux encablures de Duékoué et Bangolo. Leur nombre est estimé à 30.000 occupants de cette forêt classée dans l’ouest de la Côte-d’Ivoire, non loin de la frontière avec le Liberia. Depuis l’arrestation de leur chef Amadé Ouérémi, ses populations parmi lesquelles des miliciens, qui ont illégalement installé des exploitations agricoles de toutes sortes dans cette forêt, négocient avec les autorités ivoiriennes les modalités de leurs relocalisations. Vous remarquerez en arrière plan sur les photos, l’état de dégradation de la flore « protégée » dans ce périmètre aussi grand tout le district d’Abidjan [superficie], capitale économique de la Côte-d’Ivoire.
Par Rédaction Connectionivoirienne.net
Les photos sont de Saint Tra-Bi
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