Assemblée nationale – Sale quart de temps, le parlement des jeunes de Côte d’Ivoire rabroué

pdt parlement des jeunes honorable VAH YAO JOSUE et S.E.M Alassane Ouattara

Comme il est de tradition, le Parlement des jeunes de Côte d’Ivoire participe à l’ouverture tout comme à la clôture des sessions de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire. C’est pour respecter la tradition que l’honorable Yao Josué Vah et quelques membres de son bureau se sont rendus, mercredi 24 juillet 2013 à cette institution prestigieuse pour soutenir, le Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Kigbafory Soro. Mais, ils ne savaient pas qu’il y allait passer un sale quart temps avec les suppôts du Secrétaire général de l’Assemblée national, Fakhy Konaté. A la vue du président du Parlement des jeunes qui était dans son apparat, le Secrétaire général de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire a donné instruction à la sécurité de les faire vider des lieux en lieu et place des inconnus que sont, Moustapha Abdallah et Sidibé Aminata, ainsi que quatre autres personnes que Fakhy Konaté a choisi. Cet acte n’est pas passé inaperçu aux yeux des journalistes venus en grand nombre couvrir la cérémonie de clôture de la session de l’Assemblée nationale. Le protocole sachant qu’il y avait problème a mis tout en œuvre pour ne pas que les journalistes approchent, l’honorable Yao Josué Vah et les membres de son bureau ceci dans le but d’étouffer le poussin dans l’œuf, les manigances de sieur Fakhy Konaté.

Toutefois, il nous revient de sources proches de l’Assemblée nationale que c’est la première fois, depuis l’existence du Parlement des jeunes en 2007, que ce genre de situation arrive. Il y a donc, lieu de se poser les questions de savoir à quoi répond de tels comportements, surtout venant d’un Secrétaire général par ailleurs juriste de son état ? A quel jeu joue-t-il ? Que cache le silence du Président de l’Assemblée nationale, Guillaume Kigbafory Soro ? En tout état de cause, il y a lieu d’éclairer la lanterne des observateurs sur les différentes interrogations. Surtout que tous les représentants des Institutions étaient présents, ainsi que certaines Ambassades accréditées en Côte d’Ivoire. Est-ce un passage en force ou un rattrapage ethnique ? La question mérite d’être posée.

Sylvie Kouamé à Abidjan pour Connectionivoirienne.net

PDT DU PARLEMENT PDT DE L'AN

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