Par Sylvie K.
«La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont point reçue» Jean 1:5
L’ONUCI en Côte-d’Ivoire depuis une dizaine d’années prend un malin plaisir à faire perdurer la crise ivoirienne. C’est une évidence.
Ils n’aient pour personne de doutes que les crises de ce type sont une source de gros pactoles pour les milliers de fonctionnaires et militaires de l ‘ONU, déployés dans les pays en conflits. Avec toujours cette particularité de ne produire presque aucun rapport d’enquêtes, le tout se faisant dans l’opacité masquée derrière les discours dits « diplomatiques ». Après le énième conflit sanglant non loin de Bouaflé la semaine écoulée, l’on vient sans grande surprise de voir de nouveau la porte-parole de l’ONU [la Belge Sylvie van den Wildenberg qui ne dit jamais son salaire], demander à leurs complices locaux au pouvoir, de faire la lumière sur les derniers événements.
Question. L’ONUCI attend depuis toutes ces années combien de lumières qui ne soient pas encore faites ?
Nahibly, 7 casques bleus nigériens tués, drame du quartier carrefour [800 morts selon la croix-rouge], Bouaflé, Akouédo, Azito, commando Peuhl, ADDR recemment, Noé, Azito, etc…Disons le tout net, cela fait quand même un bon nombres de lumières que l’ONUCI attend depuis belle lurette de recevoir en Côte-d’Ivoire.
Une lumière qui a visiblement du mal à se départir de la vermine de politiciens sortis tout droit des ténèbres, qui hantent la Côte-d’Ivoire depuis 1990.
Sylvie K.
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