Plusieurs attaques à leur actif dans la région du nord, les ex combattants des forces nouvelles originaires du Mali constitués pour la plupart de Peuhls, ont convergé vers la région du sud-est après l’arrivée des Forces Républicaines pour anéantir toutes leurs tentatives. Ce commando s’apprêtait à lancer une offensive sur le poste frontalier de Noé, mais malheureusement pour eux la stratégie sécuritaire mise en place par les FRCI depuis l’attaque de ce poste s’est avérée payante. Cinq éléments de ce commando armés de deux kalachnikovs de type A47, garnies de trente minutions ont été épinglés le mercredi 10 juillet nous témoigne ce vendredi une source sécuritaire. Le premier constat est que ce sont cinq ex supplétifs de l’ancienne rébellion de nationalité étrangère qui n’ont pas été pris dans le projet de réinsertion des ex combattants piloté par l’Autorité de Démobilisation Désarmement et de Réinsertion (ADDR). D’après les premières séances d’interrogatoires de la gendarmerie de Noé, ce commando peuhl a combattu auprès de l’ex rébellion et n’ayant pas été pris en compte dans le processus mené par les autorités a décidé de mettre en mal la situation sécuritaire du pays par des attaques meurtrières sur les FRCI et des responsables politiques. Selon notre source, ce commando aurait une base dans un pays frontalier de la Côte d’Ivoire. Après ces arrestations, tout laisse à penser que les FRCI poussent le bouchon plus loin pour mettre hors d’état de nuire ce groupe aux allures quelque peu revanchardes.
Le Jour
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