« On est ensemble parce qu’on s’aime »
Valérie Trierweiler, une femme (à peu près) comme les autres ? C’est en tout cas ce qu’elle a montré hier soir dans C à vous en parlant de sa relation avec François Hollande et de sa vie de maman.
Elle ne voulait pas trop d’étendre sur sa vie privée, mais Valérie Trierweiler s’est pourtant longuement dévoilée hier soir dans C à vous. La first girlfriend s’y est livrée comme jamais, notamment sur sa relation avec François Hollande. Lorsqu’Alessandra Subet lui a demandé si le président avant l’intention de la demander en mariage pour « officialiser » leur relation, elle lui a répondu, en toute simplicité : « Qu’est-ce que ça change ? » Pas de noces en vue, donc, mais la journaliste se satisfait pleinement de son statut actuel : « Est-ce que vous connaissez les paroles de la Marseillaise ? a-t-elle demandé à l’équipe de l’émission. “Qui viennent égorger nos fils et nos compagnes.” On ne parle pas d’épouse, on parle de compagne. C’est un très joli mot, parce qu’on accompagne. Je trouve qu’il n’y a pas de plus joli mot. »
Même si Valérie Trierweiler affiche une belle bague à l’annulaire, c’est à celui de la main droite. Le signe qu’elle n’a pas besoin de devenir Mme Hollande pour se sentir bien avec son compagnon, car comme elle l’a résumé hier soir : « On est ensemble parce qu’on s’aime, pas parce qu’on est obligés de rester ensemble. » Et si elle reste, ce n’est pas non plus parce son François a la plus belle maison de Paris : elle passe beaucoup de temps loin de l’Elysée, dans son appartement. Un semblant de routine qui lui permet de garder les pieds sur terre : « Ça peut m’arriver de passer l’aspirateur pour me détendre. Même vider et remplir son lave-vaisselle de temps en temps ça fait du bien. »
Pour garder la tête froide, Valérie Trierweiler compte aussi sur ses enfants : « On oublie souvent que je suis mère, alors que s’il y a une chose qui me définit, c’est ça. Je ne suis pas que Valérie, pas que la compagne du président de la république. Je suis avant tout une mère », a-t-elle expliqué. Ses fils se chargent d’ailleurs de lui rappeler au quotidien : « Même s’ils grandissent et commencent à pouvoir s’occuper d’eux tout seuls, je les ai 10 fois au téléphone par jour, pour régler tel ou tel problème. Je gère encore le linge sale de mes fils. » A président normal, compagne normale.
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