C’est un tableau accablant que LIDER dresse:
Bilan An 2 de Ouattara par LIDER: L’échec de la réconciliation face à une doctrine d’accaparement illégal et de division ethnique et clanique
• La CDVR, créée par une ordonnance illégale, dirigée par une personnalité controversée et inféodée au président de la République, qui est lui-même le co-auteur principal de la fracture qu’elle est supposée résorber, est en mode d’échec total à quelque mois de la fin de son mandat.
• Les terres sont expropriées au profit de mandants connus et inconnus. Aux querelles anciennes entre «allogènes» et «autochtones», se sont greffées les tensions foncières engendrées par l’irruption des nouveaux propriétaires que sont les ex-combattants et autres chefs de guerre.
• Le milicien-terroriste Burkinabé Amadé Ourémi, protégé personnel du président de la République Alassane Dramane Ouattara – qui est également ministre de la défense, président du conseil supérieur de défense, président du conseil national de sécurité, chef suprême des armées – occupe, au vu et au su de tous, les forêts classées du Mont Peko. Il en brutalise les populations et pille les terres, avec l’onction du chef de l’Etat, qui le remercie ainsi de ses services rendus dans la rébellion et pour son accession au pouvoir.
• Le rattrapage ethnique et clanique continue d’être pratiqué par le régime Ouattara, créant des frustrations profondes chez les victimes de cette doctrine diviseuse.
Lider
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