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La Libre
La Belgique est prête à renforcer sa présence économique en Côte d’Ivoire, où elle est, selon Abidjan, le quatrième investisseur étranger, a affirmé jeudi le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders. Il a annoncé, à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre ivoirien Daniel Kablan Duncan puis avec le président Allassane Ouattara, la volonté belge de « développer le partenariat économique de manière de plus en forte ».
De nombreuses entreprises belges sont déjà présentes dans ce pays d’Afrique de l’ouest, considéré comme le moteur économique de la sous-région, produisant 40% du PIB de toute la région de Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), notamment dans les secteurs portuaire, du transport, agro-alimentaire, énergétique et de l' »engineering ».
Avec 500 ressortissants, la communauté belge d’Abidjan est ainsi la deuxième européenne en ordre de grandeur, après la française. La Banque mondiale (BM) et le Fonds monétaire international (FMI) ont approuvé en juin dernier un allégement de la dette ivoirienne de 4,4 milliards de dollars: 3,1 milliards au titre de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (PPTE) et 1,3 milliard au titre d’un mécanisme complémentaire, l’IADM.
Le gouvernement de M. Ouattara espère maintenir une croissance économique soutenue: certaines prévisions tablent sur 5-6% en 2013, contre plus de 8% de prévu en 2012 (après -5% en 2011, en raison d’une crise politico-militaire (décembre 2010-avril 2011) née du refus de l’ancien président Laurent Gbagbo d’accepter sa défaite électorale, épilogue d’une décennie de tourmente qui a nui à la première économie d’Afrique de l’Ouest francophone.
BELGA
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