Lu pour vous “450 000 cas d’apatridie réglés: le combat de Soro porte ses fruits”

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Source: Source : www.guillaumesoro.com (Louis Konan)

450 000 cas d’apatridie réglés : le Combat de Guillaume Soro continue de porter ses fruits

Le Garde des Sceaux, ministre de la Justice, des Droits de l’Homme et des Liberté publiques, M. Gnénéma Mamadou Coulibaly a réglé le lundi 28 janvier 2013, au 14ème Etage de la Tour B au Plateau où sont logés ses bureaux, le problème de 450 000 cas de sans papier vivant sur le territoire ivoirien. Les documents ont été paraphés avec le Bureau du Haut Commissariat des Nations-Unies pour les Refugiés (Unhcr), avec qui le gouvernement ivoirien avait signé un premier accord en 2009 alors que le Président Guillaume Soro était encore Premier ministre.

L’apatride se définit comme une personne dépourvue de patrie donc de nationalité. Il s’agit également de l’accession à l’indépendance avec accès à la nationalité restreinte. Les causes sont de plusieurs ordres. Une situation de crise militaro-politique, la disparition des registres de l’état civil, la fermeture des services de déclaration des naissances et de délivrance des actes de l’état civil (mairies et sous-préfectures), la fermeture des tribunaux ainsi que leur service d’archivage des doubles des registres de l’état civil (greffes des tribunaux). A ces événements majeurs, il convient d’ajouter des obstacles d’ordre juridique, technique ou administratif.
Hormis le gouvernement et le Président de la République, c’est le Président de l’Assemblée nationale, M. Guillaume Kigbafori Soro, qui se réjouit à double titre d’ailleurs de cet aboutissement heureux des choses. En tant que Premier ministre et en tant que leader des ex – Forces nouvelles, combattant de la Liberté. Comme il ne cesse de la clamer, son idéal en prenant les armes était de régler toutes les injustices liées à l’identité. Tous les Ivoiriens partout sur le territoire ivoirien ont eu leurs cartes nationales d’identité. Le jeu démocratique d’est déroulé dans les normes avec l’élection d’un Président de la République certifiée par les Nations Unies. Il est de même de l’élection des députés de la IIème Législature de la IIème République dont Guillaume Soro en est le président. Très prochainement, ce sera le tour des élections municipales et régionales.

A chaque fois qu’un pas est posé dans le sens du règlement des questions identitaires, Guillaume Soro pose sa main avec honneur sur sa poitrine et pousse un ouf de soulagement, comme pour dire ‘’mon combat n’a pas été vain, ce combat a valu la peine d’être mené’’. C’est ce sentiment qui l’a parcouru ce lundi 28 Janvier 2013 lorsqu’il a appris que 50% de cas d’apatridie ont été réglés par le gouvernement. Comme l’indiquait le ministre Gnénéma Coulibaly à cette cérémonie officielle, Guillaume Soro est du même avis ‘’qu’ on peut se battre à tous les niveaux pour restaurer la dignité de chaque être humain’’.

C’est pourquoi, il perçoit mal les récriminations et les voix discordantes de quelques ex-combattants désorientés et mal identifiables se répandre dans une certaine presse. Qui réclament sur la menace gîtes et couverts qui leur auraient été par le pouvoir.

Sur cette même question, le samedi 29 Septembre 2012 à la Préfecture de Ferké, le Président de l’Assemblée nationale, M. Guillaume Soro avait échangé avec les ex-combattants de sa région natale. Guillaume Soro avait demandé à ses frères ex-combattants d’être satisfaits et fiers du combat qu’ils ont mené plutôt que de réclamer une quelconque récompense.

« Vous devez être fiers du combat que vous avez mené pour votre pays. Vous devez être riches de la victoire que vous avez obtenue pour votre pays » leur avait-il indiqué.
Il avait poursuivi pour demander aux ex-combattants d’avoir confiance au Président de la République, qui, environ 20 mois après la grave crise postélectorale que le pays a traversée, est en train de trouver progressivement les solutions pour les différents problèmes de toutes les composantes de la population ivoirienne. Le cas des 450 000 apatrides qui vient d’être réglés se situe d’ailleurs dans cet élan.

Que les uns et les autres sachent raison garder et soutiennent le Président de la République dans sa détermination et sa volonté de sortir le navire ivoirien de la tempête. Figurez-vous que si malgré le courage, la détermination et la force de nos valeureux combattants, Gbagbo avait tout de même pris le dessus, aujourd’hui les combattants qu’ils ont été et qui réclament maison, argent, or, auraient – ils encore cette puissance dans la voix s’ils avaient survécu ?
C’est pour cela que toujours à Ferké, dans sa ville natale, Guillaume Soro avait demandé aux ex-combattants, avant toute revendication aussi légitime soit-elle de se souvenir du frère, de l’ami combattant tombé au front, de sa veuve, du fils ou de sa petite fille. Où sont-ils, que sont t-ils devenus ?
Et donc, pour Guillaume Soro, la menace ou le chantage n’est pas la solution, seule le dialogue, la patience et la courtoisie peuvent aider à régler les nombreux problèmes que la Côte d’Ivoire a connus pendant ce dernier quart de siècle.

Source : www.guillaumesoro.com (Louis Konan)

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