Pendant que Alassane Ouattara accuse les pro-Gbagbo de déstabiliser son régime, celui-ci continue d’entretenir des liens occultes avec des mercenaires venus des pays de la sous région aux trousses des exilés ivoiriens proches de l’ancien pouvoir.
Lundi 24 décembre 2012. Camp de réfugié d’Ampain (Ghana). Deux hommes en provenance d’Abidjan arrivent au camp. L’un est camouflé pendant que l’autre se présente au poste de contrôle à l’entrée. Dans un anglais limpide, il demande au gardien alors qu’il se trouve bel et bien à la porte du camp, où se trouve le camp de réfugiés des pro-Gbagbo. Surpris par cette question bien curieuse, le gardien tique non sans faire appel à son intelligence. Il fait patienter son visiteur et passe un coup de fil à la police. Deux arrivent sur les lieux et aussitôt interpellent le mercenaire. Aussi, pendant que la scène de déroule, sans le savoir, l’autre mercenaire sort de sa cachette. Surpris par la scène, celui-ci tente d’avaler un bout de papier. Le deuxième policier se jette sur lui et le prend par le coup. Trop tard, le papier fut avalé. Le policier recevra un coup de poing au visage et perdra connaissance. Le mercenaire prend la fuite, mais sera rattrapé. Les deux mercenaires de Ouattara seront mis aux arrêts en attendant de dire le continue de leur mission au Ghana et précisément au camp d’Ampain, le plus grand camp de réfugiés du Ghana et qui abrite plus de 10 000 ivoiriens qui ont fui les massacres d’Abidjan suite à la crise postélectorale de novembre 2010. Nous y reviendrons.
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