1.000 mercenaires menacent ADO et même les pays de la CEDEAO
Pour conquérir le pouvoir, le candidat Alassane Dramane Ouattara avait recruté des mercenaires pour déstabiliser le régime Gbagbo. Ce dernier aussi avait ses mercenaires pour sécuriser son pouvoir. Depuis, la Côte d’Ivoire est envahie par des mercenaires. De sources concordantes, on avance le chiffre de mille (1000) mercenaires tapis à Abidjan.
Ces mille mercenaires en débandade constituent une réelle menace pour nos présidents démocratiquement mal élus dans toute la zone CEDEAO.
Par Inter De Bamako –
Focus: Une licence à 52 milliards de FCFA
Alpha Télécom- Mali, c’est le nom du troisième opérateur de téléphonie mobile qui s’implantera bientôt au Mali. Cette nouvelle licence, accordée à Alpha Télécom, serait un projet initié par l’ex couple président ATT.
Décidément, le Premier ministre, Cheick Modibo Diarra et son gouvernement seraient au rouge. D’où la vente d’une licence à un troisième opérateur de téléphonie mobile à cinquante deux (52) milliards de Francs CFA.
La sortie maladroite du capitaine Amadou Haya Sanogo
Le lundi 10 septembre 2012, les Maliens ont été surpris d’entendre à la radio et de voir sur leur petit écran le capitaine Amadou Haya Sanogo parler d’un problème qui n’est pas son propos : l’envoi des troupes étrangères sur le territoire malien pour sécuriser les institutions du pays. C’est le professeur Dioncounda Traoré qui devait s’adresser à la nation pour convaincre et non le capitaine Sanogo devenu indésirable auprès de la CEDEAO, marraine de Dioncounda.
De quoi se mêle alors Amadou Haya Sanogo ? Depuis quand un civil fait-il peur un militaire ?
Gouvernement d’union nationale, force doit rester à la loi
Puisqu’on parle incessamment de retour à l’ordre constitutionnel, le Premier ministre, les membres du gouvernement, le président par intérim Dioncounda Traoré ont obligation devant la loi de déclarer leurs biens avant de prendre fonction. Ce n’est pas à la fin de la transition qu’ils le feront.
Soyons respectueux envers les lois de la République.
De qui se fout Maître Kassoum Tapo ?
«En tant que président de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), j’ai eu à rescinder certains marchés, dont celui des bulletins, des cartes et des imprimés électoraux attribués sur appel d’offres à Graphique industrie pour un montant de 2 milliards 800 millions de FCFA, que j’ai ramené à 2 milliards en obligeant le PDG de Graphique industrie à signer un nouveau gré à gré pour ce montant».
Plus loin Tapo ajoute : «Que ceux qui souhaitent cela trouvent autre chose, car après 15 ans, il y a prescription, car je suis en paix avec ma conscience.»
Après 15, les Maliens veulent savoir où sont passés les 21 milliards de FCFA de la CENI, Maître ?
Source: Inter De Bamako
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