Devoir de mémoire: les grandes dates qui vont couler Gbagbo à la Haye (Acte 2)
FEVRIER – MARS 2011
Le 25 février, à Abobo, des forces pro-GBAGBO ont violé neuf femmes politiquement engagées en faveur de OUATTARA. Ce même jour des jeunes miliciens soutenus par la police ont attaqué une mosquée à Yopougon, faisant au moins deux morts, dont le gardien de la mosquée, et au moins cinq blessés.
Le 03 mars à Abobo, les forces pro-Gbagbo ont tiré sur des femmes qui manifestaient en faveur de son départ et ont fait 6 six morts au moins 12 blessées durant la deuxième quinzaine de mars 2011, des forces pro-GBAGBO dont des membres du CECOS, de la BAE et de la garde républicaine, ont continué de tirer à l’arme lourde sur les partisans de OUATTARA à Yopougon, Williamsville, Attécoubé, Adjamé et Abobo. Les FDS ont alors tué au moins 40 personnes parmi lesquelles des femmes des enfants et des personnes âgées. Au même moment, à Abidjan des jeunes miliciens ont tué de nombreux partisans présumés de OUATTARA, dont huit musulmans qui tentaient de se réfugier dans une mosquée. En Mars 2011 également, les FDS et les forces loyales à OUTTARA se sont directement affrontées. Au cours de leurs offensives militaires, les forces pro-GBAGBO ont commis des crimes à grande échelle contre les civiles assimilés à des partisans de OUATTARA, et notamment lors des trois offensives suivantes lors desquelles des civiles ont délibérément été prises pour cible. Le 22 Mars 2011, des forces pro-GBAGBO comprenant des mercenaires venus du Libéria ont attaquées le quartier des immigrés de la ville de Bédi-Goason, dans l’ouest de la CÔTE d’Ivoire, tuant au moins 37 immigrés ouest- africains. Le 25 Mars 2011 des mercenaires du Libéria ont attaqués des civiles partisans de OUATTARA à Bloléquin, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire en représailles à la progression de forces pro-OUATTARA dans la région. Les assaillants se sont livrés au massacre systématique de plus d’une centaine d’hommes, de femmes et d’enfants originaires de groupes ethniques de l’ouest de la Côte d’Ivoire et de pays voisins de la région, qui avait trouvé refuge dans un bâtiment administratif. Le 28 Mars 2011, le même groupe des forces pro-GBAGBO a lancé une offensive contre des civiles à Douékoué, tuant plusieurs partisans de Ouattara parmi lesquels un imam et trois ressortissants ouest-africains.
28. En outre, les forces pro-GBAGBO menait systématiquement des attaques contre d’autres personnes d’origine ouest-africaines, pour la plupart des Burkinabés et des Maliens, considérés comme des personnes favorables à OUATTARA.
Entre le début des violences postélectorales et le 10 AVRIL 2011, les forces pro-GBAGBO, et plus particulièrement les jeunes miliciens et les mercenaires, ont brûlé vifs ou exécuté 80 civiles d’origine ouest-africaine à Port-Bouët et Yopougon. Les 25 et 27 Février 2011, les jeunes patriotes ont roué de coups, brûlé ou abattu plusieurs étrangers et des partisans présumés de OUATTARA à Yopougon parfois en présence des forces de police. Les 28 Février et 08 Mars 2011, des éléments des FDS en patrouille à Yopougon et à Treichville ont tué plusieurs ressortissants ouest-africains.
FEVRIER – MARS 2011
Le 25 février, à Abobo, des forces pro-GBAGBO ont violé neuf femmes politiquement engagées en faveur de OUATTARA. Ce même jour des jeunes miliciens soutenus par la police ont attaqué une mosquée à Yopougon, faisant au moins deux morts, dont le gardien de la mosquée, et au moins cinq blessés.
Le 03 mars à Abobo, les forces pro-Gbagbo ont tiré sur des femmes qui manifestaient en faveur de son départ et ont fait 6 six morts au moins 12 blessées durant la deuxième quinzaine de mars 2011, des forces pro-GBAGBO dont des membres du CECOS, de la BAE et de la garde républicaine, ont continué de tirer à l’arme lourde sur les partisans de OUATTARA à Yopougon, Williamsville, Attécoubé, Adjamé et Abobo. Les FDS ont alors tué au moins 40 personnes parmi lesquelles des femmes des enfants et des personnes âgées. Au même moment, à Abidjan des jeunes miliciens ont tué de nombreux partisans présumés de OUATTARA, dont huit musulmans qui tentaient de se réfugier dans une mosquée. En Mars 2011 également, les FDS et les forces loyales à OUTTARA se sont directement affrontées. Au cours de leurs offensives militaires, les forces pro-GBAGBO ont commis des crimes à grande échelle contre les civiles assimilés à des partisans de OUATTARA, et notamment lors des trois offensives suivantes lors desquelles des civiles ont délibérément été prises pour cible. Le 22 Mars 2011, des forces pro-GBAGBO comprenant des mercenaires venus du Libéria ont attaquées le quartier des immigrés de la ville de Bédi-Goason, dans l’ouest de la CÔTE d’Ivoire, tuant au moins 37 immigrés ouest- africains. Le 25 Mars 2011 des mercenaires du Libéria ont attaqués des civiles partisans de OUATTARA à Bloléquin, dans l’ouest de la Côte d’Ivoire en représailles à la progression de forces pro-OUATTARA dans la région. Les assaillants se sont livrés au massacre systématique de plus d’une centaine d’hommes, de femmes et d’enfants originaires de groupes ethniques de l’ouest de la Côte d’Ivoire et de pays voisins de la région, qui avait trouvé refuge dans un bâtiment administratif. Le 28 Mars 2011, le même groupe des forces pro-GBAGBO a lancé une offensive contre des civiles à Douékoué, tuant plusieurs partisans de Ouattara parmi lesquels un imam et trois ressortissants ouest-africains.
28. En outre, les forces pro-GBAGBO menait systématiquement des attaques contre d’autres personnes d’origine ouest-africaines, pour la plupart des Burkinabés et des Maliens, considérés comme des personnes favorables à OUATTARA.
Entre le début des violences postélectorales et le 10 AVRIL 2011, les forces pro-GBAGBO, et plus particulièrement les jeunes miliciens et les mercenaires, ont brûlé vifs ou exécuté 80 civiles d’origine ouest-africaine à Port-Bouët et Yopougon. Les 25 et 27 Février 2011, les jeunes patriotes ont roué de coups, brûlé ou abattu plusieurs étrangers et des partisans présumés de OUATTARA à Yopougon parfois en présence des forces de police. Les 28 Février et 08 Mars 2011, des éléments des FDS en patrouille à Yopougon et à Treichville ont tué plusieurs ressortissants ouest-africains.
Qui vivra verra
Jean Pierre Assa
Source : Lementor.net
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