Man, 25 fév (AIP) – Le président de l’Union pour la démocratie et pour la paix en Côte d’Ivoire (UDPCI, mouvance présidentielle), Albert Toikeusse Mabri a salué vendredi à Kabacouma (Biankouma), la décision de la Cour pénale internationale (CPI) de prendre comme point de départ de ses investigations en Côte d’Ivoire les événements de septembre 2002.
Dans le village du fondateur du parti qu’il dirige, Robert Guéi, Mabri a affirmé que la vérité sur les auteurs et les circonstances de l’assassinat de ce dernier sera désormais connue de tous.
Robert Guéi qui séjournait à Abidjan dans le cadre de l’organisation des structures du nouveau parti qu’il venait de créer avait été retrouvé mort le 19 septembre 2002 et présenté à la télévision nationale le même jour par les dirigeants d’alors comme l’instigateur de la tentative de putsch qui secouait le pays depuis la veille.
La lumière sur les circonstances réelles de la mort de l’ancien chef d’Etat a toujours été le cheval de bataille de l’UDPCI, certains détracteurs considérant cette obsession comme le seul programme d’activités du parti.
(AIP)
gso/cmas
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