Accusations contre les FRCI – Des jeunes protestent
Les accusations portées contre les FRCI, ne sont pas du goût d’un groupe de jeunes réunis au sein du Réseau des élèves et étudiants de Côte d’Ivoire (REECI). Samedi dernier, à Yopougon, KONE Ibrahim Fangori et ses pairs ont convié la presse à Yopougon pour crier leur indignation. «Amnesty Internationale et Human Right Watch s’indignent des exactions qui auraient été commises par les éléments de FRCI, en oubliant ce que serait la Côte d’Ivoire si les FRCI n’étaient pas intervenues», indique-t-il. Et le conférencier de rappeler que Laurent Gbagbo dans sa volonté de confisquer le pouvoir a engagé la Côte d’Ivoire dans une guerre postélectorale sans précédent, cela malgré toutes les médiations régionales et internationales. Pendant cette période, poursuit-il, l’ex-chef de l’Etat et ses sbires auront tenté de s’imposer aux Ivoiriens en louant les services de mercenaires libériens et en instrumentalisant les jeunes miliciens. Cette machine à tuer s’est livrée à des exactions horribles et des exécutions abominables notamment à Abobo et Yopougon. Dans le but de pacifier le pays et de mettre fin aux tueries des populations les Forces Républicaines de Côte d’Ivoire, forces régulières, entament une libération totale du pays. Le conférencier, à partir de tous ces faits, dit ne pas comprendre les accusations de ces organismes. «Nous ne pouvons pas accepter que nos libérateurs soient incriminés au détriment des assassins et brûleurs de personnes alors qu’ils devraient être sous les verrous», a-t-il protesté. Pui, le conférencier d’indiquer que : «l’arrivée de du commandant CHERIF OUSMANE à Yopougon a été salvatrice et libératrice dans la mesure où elle a permis de sauver près de deux millions de vies humaines à Yopougon».
TL
Le Patriote
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