Les sympathisants du Rhdp section Pays-Bas ont effectué le samedi 04 mars 2011 dernier un sitting devant la CPI (Cour Pénale Internationale) pour dénoncer les atrocités perpétrées par les Forces de Défense et de Sécurité proches de Laurent Gbagbo en Côte d’Ivoire. Malgré le froid hivernal qui sévissait, les militants et sympathisants du Rhdp section Pays-Bas ont répondu en bon nombre à l’appel à manifester de leurs responsables locaux. On notait aussi la présence d’une délégation du Rhdp Benelux dirigée par M. Loukou Gilbert délégué du PDCI, depuis la Belgique venu supporter ses frères et sœurs dans le combat de tous les adeptes de la philosophie Houphouetiste. Philosophie qui prône le respect et l’acceptation d’autrui. Les manifestants ont eu la belle surprise de voir des frères et sœurs africains venus aussi apporter leurs soutiens au peuple de Cote-d’Ivoire en lutte contre l’imposture de Laurent Gbagbo et de son clan, mauvais perdants de la présidentielle du 28 nouvembre dernier.
pour les organisateurs, cette manifestation devant la CPI est un signal fort d’interpellation de la communauté Internationale sur les atrocités exercées sur cette majorité de la population Ivoirienne se reconnaissant dans la victoire du président Ouattara. Aussi, ils ont demandé à la communauté Internationale de mettre en application les décisions prises. C’est-à-dire l’installation du président Alassane Dramane Ouattara, démocratiquement élu avec un score de prés de 55%. Selon les organisateurs, Jérémie Bogui et Soumahoro Ahmed, il est inadmissible que les FDS proches du président sortant Laurent Gbagbo puissent tirer sur des femmes du Rhdp qui manifestaient les mains nues, faisant sept morts alors que les femmes de la LMP supporters de Mr Laurent Gbagbo continuent de manifester en toute tranquilité. Pour terminer M. Loukou a pris la parole pour dire qu’il est temps que les ivoiriens se lèvent pour sauver la Côte D’Ivoire. Selon lui ni la communauté internationale ni l’union européenne, ni l’Union Africaine ne pourront faire ce combat à la place des Ivoiriens.
Une correspondance particulière de H.B.
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