La rumeur et le mensonge. C’est le domaine de prédilection du FPI. Depuis samedi, les partisans de Gbagbo font courir la sale rumeur selon laquelle le Président de la République, Alassane Ouattara, ne se porterait pas bien. Certaines officines annoncent même le pire. Pur mensonge et songe. Il n’en est rien du tout. Le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, qui respire la grande forme est bel et bien au travail pour remettre la Côte d’Ivoire sur le chemin du développement. En effet, hier dimanche, quand bien même il n’avait pas de rendez-vous officiels sur son agenda, le Président Ouattara, selon l’un de ses porte-parole, a eu des séances de travail avec certains de ses proches collaborateurs à l’Hôtel du Golf où il a établi ses quartiers depuis le scrutin du 28 novembre dernier. Les labos du FPI, en divulguant de telles informations malsaines au sein de la population qui piaffe d’impatience de voir le N°1 ivoirien prendre les rênes du pouvoir, démontrent à l’envie, leur haine viscérale contre Ouattara qui a battu Gbagbo, à la régulière, dans les urnes par 54,1% des voix.
Par ailleurs, l’on s’interroge sur l’esprit malsain par lequel les refondateurs conçoivent le champ politique où les acteurs ne sont que de simples rivaux. Mais de là, à souhaiter la mort de l’adversaire et propager une rumeur là-dessus par l’intermédiaire de la télévision nationale, il faut être Laurent Gbagbo et ses hommes pour le faire. Cela n’étonne guère, d’autant plus que ces dix ans de règne du FPI à la tête du pays n’ont été rythmés que par des assassinats massifs.
Ce que les affidés de Laurent Gbagbo oublient, c’est que c’est l’Eternel Dieu, le Tout Puissant qui est maître du destin de toute créature. C’est lui, et lui seul, qui donne le souffle et le retire à chaque homme. Donc, ce ne sont pas les songes et mensonges qui doivent être pris pour de la réalité.
Le FPI devrait avoir honte de tremper dans de telles bassesses et laisser Alassane Ouattara travailler pour le bonheur des ivoiriens que Gbagbo et son clan ont plongés dans une extrême pauvreté.
Jean- Antoine Doudou
Le Patriote
Commentaires Facebook