Le FPI: une organisation terroriste ivoirienne à éradiquer, par Sékongo…

Au centre de la quête humaine, se trouve le désir de s’offrir un monde meilleur, un monde dépourvu de violence, un monde où l’homme redevient la valeur suprême, un monde où la vie humaine est sacrée.

Il apparait alors responsable que tous, à travers le monde, sans distinction de race, de religion, de philosophie et au-delà des appartenances idéologiques, politiques, culturelles s’unissent pour combattre les organisations qui font de la violence et le non-respect de la vie humaine, le socle de leur pensée et de leur action.

Ces organisations sont connues et s’appellent aqmi, al-qaïda, gspc, mujao… Ces organisations ont des ramifications qui prennent des appellations diverses en fonction du continent, du pays où elles sont implantées.

En Côte d’Ivoire, le pendant de ces organisations est sans nul doute le FPI. Dire cela, ce n’est ni de l’outrance ni de l’exagération mais bel et bien le constat d’une similitude d’action entre cette organisation politique et lesdites organisations criminelles. Trop d’éléments l’attestent. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à observer les actions de ses membres depuis la crise post-électorale en Côte d’Ivoire. Agissements que cette organisation nous avait déjà donnés d’observer les prémices dès 2000.

En effet, pendant la crise post-électorale, le FPI a bâti des groupes civilo-militaires et inculqué à ceux-ci l’éducation de la mise à mort systématique de toute personne qui ne partagent pas ses idéaux ou épouse sa vision du monde. Souvenons-nous des escadrons de la mort dont les victimes se comptaient dans un seul camp, un seul parti, une seule région, un seul groupe ethnique… Cette orgie meurtrière s’est étendue sans pitié à tous ceux qui étaient considérés par eux comme impurs, souillant leur territoire et qui, de ce fait, devaient être éradiqués sans autre forme de procès.

L’essence politique du FPI c’est la banalisation de la mort, la désacralisation de la vie humaine. Ses adeptes ont appris et accepté qu’un être humain mort est comme un chien enragé qu’on tue, et pis et que cela devait même être source de réjouissance.

Les milices du FPI, on l’a vu lors de la crise post-électorale ont perdu cette culture africaine qui fait que l’Africain a une crainte révérencielle du cadavre et redoute par conséquent de donner la mort. On les a vus, en public, faire du feu avec de vieux pneus et des cartons, y jeter des hommes vivants, chanter et danser autour pendant que ces hommes et femmes, se consumaient dans d’horribles cris de détresse. Que dire de cela si ce n’est le FPI a prôné et mis en œuvre la forme la plus extrémiste de la culture du meurtre.

Souvenez-vous : Yves Lamblin, le PDG de Sifca torturé, assassiné, découpé à la machette et dont les morceaux ont été jetés aux poissons dans la lagune ébrié.

Souvenez-vous de Guy André Kieffer, arrêté, torturé au sein même du palais présidentiel, tué et dissous dans de l’acide.

Les sept femmes d’Abobo qu’on a froidement arrosées à la mitrailleuse lourde, une mitrailleuse destinée à percer le blindage des chars !

Souvenez-vous de la mère d’Alassane Ouattara dont le corps, à peine enterré, a été déterré pour être brûlé. Il s’en est fallu de peu qu’ils réussissent cela.
Maintenant, ils agissent juste pour assassiner et s’en vantent par la suite.
Bref! Au vu de tout ceci, les Ivoiriens doivent s’organiser sans exclusive pour contrer cette organisation. Il appartient aux autorités ivoiriennes d’engager une lutte sans merci contre ces adeptes de ce fondamentalisme politique nocif et nihiliste.

A l’instar des pays à travers le monde qui ont sur leur territoire ce type d’organisation, l’Etat ivoirien doit se donner les moyens de combattre avec détermination et abnégation le fpi.
Nous n’avons plus à faire avec un parti politique ordinaire. Le fpi est une organisation terroriste et cela, nos autorités doivent s’en convaincre.

C’est le lieu donc d’appeler à l’union sacrée pour éradiquer, une fopis pour toutes, le fléau fpi. Cela, au nom de l’humanité

Félicien Sékongo

Source: blog.guillaumesoro.com

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Le FPI, la négation des principes démocratiques, développerait-il des pulsions terroristes ?

Mis en ligne le 20 aout 2012

Konan louis konanlouis@guillaumesoro.com

Des attaques lâches et insensées du FPI aux pratiques terroristes, il n’y a malheureusement qu’un seul pas à franchir ! Le Front Populaire ivoirien (FPI) que nous avons applaudi aveuglement dans les années 90 pour sa soif de liberté et de multipartisme, se mue, malheureusement, de manière vertigineuse en bandes terroristes pour avoir seulement perdu à une élection présidentielle. C’est regrettable !

Comment comprendre qu’un parti politique de cette envergure dont tous les ivoiriens ont salué l’avènement après environ 30 ans de parti unique, fait usage encore, 22 ans après son existence officielle, à des pratiques terroristes pour se faire entendre où pour retrouver le pouvoir qu’il a perdu de façon démocratique. Coups-bas, rumeurs, intimidations, enlèvements, meurtres, intoxications, désinformations, génocides, haine tribale, etc … tout y passe pourvu qu’il y’ait un impact nocif ou négatif sur la vie des populations ivoiriennes qu’ils aspirent à diriger de nouveau.

Un parti politique qui se veut démocratique ne peut adopter les postures rétrogrades d’un autre âge des groupes terroristes à l’image du PKK, du Khu Klux Khan, du nazisme. Semer sans visage la mort, la désolation par-ci, par-là ne ramènera pas Laurent Gbagbo au Pouvoir. Heureusement que la majorité des partisans du FPI qui souhaite un nouveau départ pour le parti dénonce quand même à voix basse ces attitudes barbares et honteuses d’un groupuscule d’individus qui ont pris en otage le FPI.

Au lieu de demeurer dans une position suicidaire, le Parti de Laurent Gbagbo gagnerait à accepter sans préalable aucun la main-tendue du Président Alassane Ouattara, qui a pour seule volonté de poursuivre l’œuvre du Bâtisseur, l’œuvre de son ‘’père’’, le regretté père de la nation, le Président Félix Houphouët Boigny. Et pour réussir ce défi noble de faire appartenir la Côte d’Ivoire au cercle des pays émergents à l’horizon 2020, tous les bras valides du pays sont sollicités notamment le FPI qui ne doit nullement demeurer en marge de cette volonté nationale !

Nulle part, nous n’avons vu le terrorisme prospérer sur cette planète des hommes !les terroristes finissent toujours par être rattrapés et éliminés. Des exemples à travers le monde sont connus !

Des lendemains meilleurs s’annoncent pour notre pays, emboitons tous le pas de la Réconciliation nationale et allons résolument à la Paix, source de développement et de bonheur partagé ! Le monde entier nous observe, sachons prendre rendez-vous avec l’Histoire ! De toutes manières, les partisans du FPI, dignes fils de notre chère Côte d’Ivoire que nous aimons tous à des degrés divers ne sauraient sacrifier ce beau pays sur l’autel du terrorisme. Si cela arrivait ce serait catastrophique pour tous !

Louis Konan
http://blog.guillaumesoro.com

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