A Monsieur le Directeur de Publication
de Connection Ivoirienne.
Cher confrère,.
Je viens de Prendre connaissance de votre Publication en date de ce jour, mercredi 22 Octobre portant sur le journaliste Ivoirien Hervé Cohx, et signé par Dimitri LEKE.
Je vous remercie du professionnalisme qui vous a toujours caractérisé et je vous encourage à en faire davantage.
Pour ce qui de ce sujet, le Groupe Africa Leaders, par ma voix, avait apporté des précisions, suite à plusieurs publications du mois de Juin 2014.
Je crois personnellement que c’est un ivoirien qui est en prison et hors de son pays et surtout un confrère, et cela fait et touche.. Je pense aussi que le Confrère sortirait de-là où il est, s’il parle peu et salue les efforts des uns et des autres.
Je voudrais juste dire que le Groupe Africa Leaders que j’ai l’honneur de diriger, n’a jamais invité monsieur Amani Kouakou dit Hervé Cohx ni au Mali, ni ailleurs où Africa Leaders intervient.
Je voudrais aussi préciser que le Groupe Africa Leaders n’a jamais signé de Contrat avec Monsieur Amani Kouakou dit Hervé Cohx.
Que la lettre d’invitation soit Publiée. Que le Contrat qui lie le Groupe Africa Leaders et Monsieur Amani Kouakou Hervé soit publié.
Pour être sérieux, comment et pourquoi, le Groupe Africa Leaders que je préside, accepterait-t-il de loger quelqu’un dans un hôtel pendant plus de Huit (8) mois ?
Le groupe Africa Leaders, en sa qualité de groupe de Médias, a répondu, à la sollicitation du confrère Hervé Cohx, lorsqu’il était venu à Bamako pour ses missions personnelles et n’avait pas encore soldé son Hôtel, pour quatre nuits.
Et l’hôtel avait refusé de lui donner à manger et il était menacé d’être arrêté par la police.
Informé, je suis venu le voir en personne à l’Hôtel. Il m’a confirmé qu’il est de passage pour aller en Guinée. Mais qu’il devrait d’abord gérer certaines courses au Mali. Et ferait juste une semaine.
Sur le place, je demande à l’hôtel de lui donner à manger et de le laisser dormir. L’hôtel a demandé une garantie, toute chose qui est normale.
J’ai écrit à l’hôtel, lui demandant de laisser le journaliste ivoirien Hervé Cohx faire son séjour et de nous donner la facture. Pour la semaine, dont le confrère m’a parlée, le Groupe Africa Leaders devrait payer la facture. Et je suis parti pour continuer mes missions.
Quand j’ai revu le confrère, qui était encore à l’hôtel, il m’a rassuré qu’il avait géré son séjour. J’étais donc heureux.
Toutes les fois que j’avais l’occasion de le voir, il me disait que son argent venait de Paris, et qu’il n’avait pas de souci. OK.
Huit mois plus tard, il m’appelle pour dire que l’hôtel ne lui donne plus à manger . A la question de savoir pourquoi ? Le gérant de l’hôtel me présente une facture de près de quatre millions de Francs CFA déjà consommée.
J’ai pris mon sang froid devant l’homme de l’Hôtel et j’ai dit d’accord.
A deux, j’ai demandé à Hervé ce qui n’allait pas, il m’a répondu que c’est à son niveau. A domicile, chez-moi, je lui ai demandé pourquoi est-ce qu’il jouait à ce jeu aussi grave. Il m’a rassuré qu’il est le responsable de ce qu’il fait et qu’il va payer . Qu’il attendait de l’argent pour tout solder.
Des semaines plus tard, alors que j’étais en mission, il m’appelle pour me dire qu’il a été arrêté par la police et qu’il est au tribunal. Revenu de ma mission quelques jours après, je suis allé le voir en prison et j’ai informé l’Ambassade de Côte d’Ivoire au Mali.
Où il me dit: « mon frère » sauve-moi ».
Je lui ai répondu que j’ai mon entreprise à gérer et je travaille pour ma réussite. Et la seule chose à faire, c’est d’informer ses parents pour qu’ils trouvent la solution.
Et j’ai demandé à un avocat de l’assister, le temps que ses parents et autres viennent payer l’argent de l’hôtel..
J’ai demandé à l’avocat de tout faire pour éviter qu’il y est un jugement, sinon, il risque gros et son casier judiciaire risque d’être sali.
J’ai informé ses parents et autres contacts, comme promis.
Alors, je suis surpris que ce soit lui qui accorde des interviews et tente de salir Le groupe AFRICA LEADERS.
Je suis effectivement monsieur MONOKO TOALY, Le Président Directeur des Publications du Groupe AFRICA LEADERS.
Si, au lieu de remercier le Groupe AFRICA LEADERS, parce-que lui, est jusqu’à présent, propre, sans jugement, il veut ternir l’image de ce groupe et porter atteinte à ma crédibilité.
Je ne voudrais pas ici intervenir sur d’autres détails. Mon souci est que le frère sorte de là où il est.. Mais je ne permettrai point qu’il salisse mon Nom ni celui du Groupe AFRICA LEADERS.
Je voudrais vous prier cher Directeur de Publication de bien vouloir publier mes mises aux points.
MONOKO N. TOALY
Président directeur des Publications
du Groupe AFRICA LEADERS.
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